Je représentais ce matin notre département à la Commission académique sur l’enseignement des langues vivantes étrangères (CAELVE). La nouvelle carte des langues était présentée ainsi que les parcours biculturels.

Voici les deux questions que j’ai posées à cette occasion :

• « Pour quelles raisons il y a quelques secteurs où l’allemand est offert dans les écoles de recrutement d’un collège et ce collège ne propose pas d’allemand en 6^ème : c’est le cas par exemple à GERBEVILLER ou à BACCARAT, pourtant proches de l’Allemagne en Meurthe-et-Moselle ? »
• (Réponse : GERBEVILLER ne l’a pas proposé, surement en raison du faible nombre d’élèves. BACCARAT n’aura pas de bilangue allemand mais aura une LV1 allemand en  6^ème)
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• « Dans les secteurs de l’éducation prioritaire où la bilangue allemand est maintenu malgré l’absence d’enseignement de l’allemand dans les écoles de recrutement, cela correspondant à un dispositif de bilangue de grand commencement comme on peut l’observer à Jarville, Moyeuvre-Grande, Uckange, François Rabelais à Metz, Jules Ferry à Woippy ou encore à Cirey : est-ce qu’il est prévu un développement de l’allemand dans les écoles de recrutement ? »
• (Réponse : oui, le but est de construire à terme une bilangue de continuité. A Metz au collège François Rabelais, un enseignant de second degré va faire les cours en 1^er degré le temps de former les enseignants. A Woippy, la ressource humaine existe déjà dans une école.)
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